Catégories : Rencontres ABDL-infantilisme-diaper lover Diaper boy / Little boy
il y a 9 ans
Chapitre 2
L'année suivante André invitait de nouveau Milène et Alice de passer une partie de l'été dans sa maison en Espagne mais à son regret Alice expliquait qu'elles avaient d'autres projets. Il passait un été en couches au soleil, mais très solitaire.
Vers le début de l'année suivante André prenait sa retraite anticipée. Quand au printemps le temps continuait à être exécrable il avait envie d'aller en Espagne et d'y rester jusqu'en automne, mais Mireille, son ex-femme qu'il continuait à fréquenter, lui disait qu'il était fou, puisque l'été passé il c'était plaint de sa solitude.
Il en parlait avec Alice et quelques jours plus tard elle revenait vers lui avec l'idée de passer quelques mois à trois dans le sud. Elle c'était mis à peindre, et à faire des collages, et avait besoin de plus d'espace, et Milène pourrait prendre du congé non payé et se mettre à écrire le roman dont elle parlait depuis toujours. André n'hésitait pas une seconde à accepter.
Quelques semaines plus tard ils se trouvaient tout les trois dans la villa en Espagne. Tout de suite André se remettait dans son rôle de petit bébé. Alice aussi rentrait dans le rôle de la petite fille joyeuse mais peut-être avec moins d'enthousiasme que deux ans avant. Elle prenait son travail d'artiste très au sérieux. Un copain galeriste avait manifesté son intérêt à l'exposer si elle arrivait à faire un nombre assez important d'œuvres de qualité. Et Milène c'était mis à écrire son roman.
Encore plus que pendant leurs premières vacances ensemble André devait donc s'occuper de lui-même le plus part du temps, et le ménage tombait presque exclusivement sur ces épaules. Mais de nouveau il ne s'en plaignait pas. Il pouvait vivre son fantasme tout le temps sans devoir craindre que quelqu'un - le facteur, un visiteur inattendu – se présente à la porte, le surprenant en tenue compromettant. Quand Alice n'était pas en train de travailler elle s'occupait de lui et il pouvait rentrer complètement dans son rôle de petit bébé. Alice tenait tout le temps son appareil de photo en main et ne s'arrêtait pas à prendre des photos. Souvent quand il jouait au bébé André se sentait observé et photographié ce qu'il l'adorait. Mais le pus important était qu'au lieu d'être seul il avait la compagnie d'un couple de lesbiennes exquises.
Quand les deux copines étaient fatiguées de travailler elles prenaient un jour de congé, et empruntaient la voiture pour partir en excursion. De nouveau cela rendait André très jaloux. Il comprenait que quand elles travaillaient elles n'avaient pas de temps pour lui, mais quand elles partaient c'était quand même la moindre des choses de l'inviter à accompagner. C'était quand même lui qui payait pour tout. Quand André leur en parlait Alice disait qu'il avait raison, et promettait de l'inviter à la prochaine excursion. Mais après ça elles ne partaient plus.
Le temps passait très vite et vers la fin du mois de juillet tout le monde avait les nerfs à vif. Milène se rendait compte que son roman n'avançait pas comme elle avait prévu, et Alice n'était pas contente de ce qu'elle avait fait. Elle trouvait que rien de ce qu'elle avait produite ne valait la peine d'être exposé. Les filles discutaient âprement de leurs échecs et parlaient d'abandonner, et de rentrer à la maison pour reprendre leurs boulots. A fin de clarifier leurs idées elles décidaient de partir un jour en excursion. Quand elles annonçaient leur intention à André il les rappelait la promesse de l'emmener. Milène refusait. André insistait en les harcelant: « une promesse est une promesse ! ». Milène le regardait avec mépris et répondait en disant qu'elle ne supportait plus le voir et le traitait de vieux con pathétique et pervers. Quand André hurlait que ce n'était pas sa faute qu'elle n'avait pas de talent, elle s'avançait et le giflait dans la figure. Prise complètement par surprise André sentait les larmes couler sur sa joue, pendant qu'il regardait éloigner la guerrière féroce Alice lui donnait une bise et puis courait rapidement derrière sa copine.
Resté seul André regrettait immédiatement la scène qu'il avait fait et craignait que Milène ne voudrait plus rester. Mais les deux filles rentraient beaucoup plus tôt qu'André n'avait prévu et Alice venait tout de suite vers lui et l'embrassait. Elle s'excusait, et annonçait que Milène aussi regrettait ce qui était arrivé et elles voulaient lui parler.
André, soulagé par la tournure des faits acquissait bien sûre, et ils s'installaient dans le jardin. Alice commençait en disant qu'elles avaient honte. Qu'il payait tout leur séjour et elles donnaient rien en retour. André voulait l'interrompre mais Alice demandait de les écouter. C'était le tour de Milène pour s'excuser et puis Alice annonçait qu'elles avaient bien réfléchit à comment elles pouvaient payer leur dette envers lui et qu'elles avaient une proposition à faire.
André de nouveau voulait protester que cela ne valait pas la peine mais de nouveau Alice demandait de l'écouter jusqu'à la fin. Elle continuait en expliquant qu'elle avait abandonné son projet d'une exposition quelques mois plus tard. Elle ne pouvait pas travailler sous pression. Toute son inspiration avait disparu. Donc elle allait arrêter de se f o r c e r à travailler, et attendre les moments d'inspiration comme elle avait toujours fait. Peut-être qu'elle aurait son exposition dans un an, peut-être jamais, tant pis.
Milène de son côté réalisait qu'elle n'avait pas assez de maîtrise pour un roman et allait se mettre à réécrire ce qu'elle avait pour en faire une ou deux novelles. Et puisque Milène devrait travailler fort, et Alice par contre n'aurait pas grand-chose à faire, elle proposait que pour le restant de leur séjour elle traite André comme un vrai petit bébé à temps plein. Il ne devrait ne plus rien faire dans le ménage, et elle s'occuperait à l'habiller, le laver, le nourrir, tout comme s'il était un vrai bébé. Ce serait la manière de le remercier pour son hospitalité.
André n'en croyait pas ces oreilles. C'était trop beau pour être vrai. Il acceptait bien sûre la proposition et joyeusement ils s'embrassaient.
Sans tarder Alice se mettait à préciser le plan. Milène serait « le papa » - occupé la plus grande partie du temps dans son bureau -, Alice serait « la maman » – qui s'occupait du ménage et du petit bébé. Et comme bébé, André ne devrait s'occuper de rien, il serait complètement prise en charge par Alice, 24 heures sur 24. Et il vivrait au rythme des bébés, prenant une sieste tous les midis, et allant tôt au lit le soir, laissant un peu de temps à « papa » et « maman » pour être à deux.
André était de plus en plus enchanté. Et puisque tout le monde était d'accord il n'y avait plus de raison pour attendre. Alice le prenait par la main et annonçait qu'ils allaient arranger sa chambre. Se demandant ce que cela voulait dire il la suivait docilement. Elle ouvrait ces armoires et enlevait tous ces habits d'adulte en les mettant dans des valises et des sacs. Après les vêtements c'était le tour des autres objets – réveil, téléphone, clefs, livres – de telle manière que ne restaient que des vêtements de bébé, des pluches et des jouets. Elle terminait en enlevant ces lunettes de son nez et en les mettant également dans un des sacs. André portait des lunettes multifocales dont il avait besoin aussi bien pour lire que pour conduire. Il réalisait immédiatement que sans lunettes il serait fort dépendant de sa « maman » et de son « papa », et cette idée l'excitait.
A ce moment Milène rentrait dans la chambre avec le portefeuille d'André en main : « Il faudrait me donner tes codes de banque et d'accès à ton ordinateur mon petit ! ». André n'avait pas pensé à ça et hésitait une seconde, mais excité de pouvoir être complètement un bébé pendant quelques semaines, et convainques qu'il pouvait faire confiance à ces copines, il donnait l'information demandé en souriant.
Les semaines qui suivaient tout le monde était au paradis. Ayant abandonné l'idée d'un grand roman en faveur de pièces moins ambitieuses Milène retrouvait son assurance. Le travail pour transformer son matériel était beaucoup plus lourd qu'elle n'avait imaginé mais tout de suite elle sentait ou elle allait, et était satisfaite des résultats.
Alice avait avertit sa gallérie qu'elle ne préparait plus une exposition pour cette année, et elle aussi était soulagé. Au début elle ne travaillait plus, mais très vite elle trouvait des petits moments entres ces besognes ménagères et, plein d'inspiration, elle prenait du plaisir à faire des petits montages de photos.
Et André était au ciel bien sûr. Toute suite Alice avait installé une routine très régulière qui convenait à tout le monde.
Le matin elle venait dans sa chambre vers 9 heures. Au début à quelques reprises il était sorti de son lit avant qu'elle n'arrive et ce fût à la salle de bain ou il avait entendu du bruit. Mais Milène l'avait grondée et menacée de l'attacher dans son lit, et depuis lors il attendait patiemment qu'Alice vienne le chercher en suçant sa tétine et jouant aux poupées.
Elle le prenait par la main, et sans changer sa couche trempée, le conduisait à la cuisine ou il donnait une bise à Milène avant d'être attachée à sa chaise. Alice lui mettait un bavoir et le donnait à manger des céréales. Après le petit déjeuner Milène partait dans son bureau pendant que Alice et André remontaient pour le laver et l'habiller. Après son bain, qui durait assez long temps parce que Alice se faisait la toilette pendant qu'il jouait, ils descendaient et Alice l'installait avec des jouets pendant qu'elle faisait le ménage.
Vers midi et demi il était temps pour la purée de légumes- qu'elle lui nourrissait cuillère par cuillère – suivi d'un petit yaourt ou pudding. En général Milène arrivait quand il était à son dessert et versait un apéritif pour elle et Alice. Quand il avait terminé son repas Alice le mettait au lit pour sa sieste.
Un peu passé deux heures elle venait le chercher et ils se mettaient dans le jardin. Alice lui donnait plein de jouets et s'installait dans une transat à lire. Il y avait un petit bassin d'e n f a n t s et en général Alice enlevait sa couche el le laissait jouer dans l'eau tout nu. Quand il était fatigué de jouer dans son petit bain d'e n f a n t s Alice lui mettait un tablier et l'encourageait à peindre ou à faire des constructions avec les matériaux qu'il trouvait dans le jardin.
Vers 16 heures c'était l'heure de la panade de fruit. Après ça Alice se mettait à faire une ou autre besogne ménagère, ou se mettait à travailler à un de ces projets artistiques, et André jouait de nouveau tout seul. En général c'était le moment de la journée ou il sentait le besoin de soulager ces intestins. Au début il demandait à être mise sur la toilette et Alice l'en félicitait, malgré le fait qu'elle devait alors interrompre son activité. Un jour, probablement un jour d'inspiration et elle voulait continuer son travail, elle le regardait en soupirant. Puis elle souriait et disait doucement qu'il pouvait faire dans sa couche. André la regardait d'abord incrédule, mais voyant qu'elle était sérieuse, ne se laissait pas prier une deuxième fois. Sans hésitation il se mettait à remplir sa couche. Le sentiment de la masse chaude qui se mettait partout était le paradis absolu. Surtout sachant qu'il ne devrait pas se laver lui-même après. Alice le regardait d'un coin de l'œil, mi amusé mi dégoutté, mais à partir de ce jour il n'employait plus jamais la toilette.
Après qu'il avait souillé sa couche elle ne le changeait pas tout de suite – ce qui ne gênait pas du tout André – mais continuait sa besogne jusqu'à 18 heures, quand elle le montait pour son deuxième bain de la journée.
Après son bain, avec une couche toute propre en dessous de sa chemise de nuit, il était de nouveau mis à table. Cette fois-ci Alice lui préparait des tartines qu'elle coupait en petits morceaux et qu'il mettait lui-même en bouche. Puis suivait le meilleur moment de la journée, Alice se mettait à jouer avec lui pendant une bonne heure: dessiner, faire de puzzles, ou autres jeux tranquilles. Alice aussi profitait de cette heure ou elle encourageait et aidait son petit protégé. Tout les deux adoraient faire les jeux d'ordinateur sur le site du « Club de Martine ». En général Milène se mettait à côté d'eux pour lire son journal, et parfois participait dans leurs jeux.
Vers 19.30 c'était temps pour aller au lit. Un autre moment qu'il adorait parce que Alice lui donnait un grand biberon de lait qu'il vidait lentement assise dans son lit à côté d'Alice qui lui lisait une histoire (de nouveau les livres de Martine étaient leurs préférés). Vers 20 heures elle fermait les volets et il s'allongeait pour dormir.
Vers le début de septembre André commençait à être un peu concerné par le fait qu'il n'avait plus eu de contact avec son entourage depuis bientôt un mois. D'habitude il envoyait de temps en temps des courriels à Mireille, ces e n f a n t s et à quelques amis. Après un mois de silence ils devaient commencer à ce faire des soucis. Quand il en parlait à Alice elle le rassurait en disant que si quelqu'un était inquiet il aurait téléphoné. André, réalisant qu'il n'avait plus vu son téléphone mobile depuis le changement de régime, réagissait qu'ils avaient peut-être essayé de le joindre, à quoi Alice répondait que Milène contrôlait son téléphone tous les jours.
Le fait que Milène contrôlait son téléphone ne plaisait pas du tout à André mais il devait admettre que si personne n'avait téléphoné cela voulait dire qu'en effet ils ne s'inquiétaient pas. Se demandant comment c'était possible il suggérait que ce serait quand même mieux s'il envoyait quelques messages à quelques personnes juste pour éviter qu'elles s'inquiètent. Alice riait en disant que des petits bébés ne savaient pas écrire. André aussi riait mais ne se donnait pas vaincu : « On pourrait le faire ensemble maman. Moi je te dirai ce que je veux dire et toi tu l'écris. » A ce moment Milène rentrait et Alice racontait de quoi ils parlaient. Milène le regardait d'un air un peu moqueur : « Ne t'inquiète mon ange, tous tes copains et copines savent que tu te portes bien.
Je les écrit régulièrement pour les donner de tes nouvelles.». André était comme sidéré : « Non, mais ce n'est pas vrai ? Tu les as raconté quoi ? ». Milène élargissait son sourire : « Que t'es le bébé le plus heureux au monde. C'est la vérité, non ? » André réalisait qu'il n'allait pas obtenir plus de réponses et se taisait. Que Milène contrôlait son téléphone et sa boité de courrier électronique le mettait très mal à l'aise. Tout d'un coup il se rendait compte qu'elle contrôlait son accès au monde. Quand il était seule avec Alice avant d'aller dormir il essayait de la convaincre de lui laisser lire ces courriels et de le laisser écouter sa messagerie vocale, mais elle répondait qu'il devait demander ça à « papa ». Il insistait mais elle ne se laissait pas amadouer tout en le demandant pourquoi il s'énervait tellement : « Est-ce qu'il n'était plus content de l'arrangement ? » Il n'insistait plus.
Mais en pleine nuit il se levait du lit, descendait doucement et allumait son ordinateur. Quand son mot de passe était refusé il croyait que sans lunettes il avait mal introduit le code, mais quand l'accès était refusé pour une seconde fois il comprenait que Milène avait change le mot de passe. Tremblant d'inquiétude et de colère il se mettait à chercher son téléphone. Cherchant dans le bureau de Milène et le trouvait tout de suite. Il hésitait à qui il allait appeler et se décidait pour Mireille. Rempli d'appréhension il formait le code, et comme il avait craint le code était refusé.
Sa première réaction était de se laisser glisser par terre, et de mettre sa tête dans ces mains. Prise de panique, il réalisait qu'il était complètement à la merci de ces deux copines. Mais après la panique initiale il sentait monter la colère. Qu'est ce qu'elles croyaient ? Qu'il allait se laisser faire comme ça ? Et bien non, il allait partir sur le champ. Il se levait mais réalisant qu'il était vêtue d'une chemise de nuit et une grosse couche il s'arrêtait. Mieux attendre le lendemain? Non, elles ne le laisseraient pas faire. De toute façon, où, et comment, est ce qu'il partirait?
Il s'asseyait de nouveau, et réfléchissait plus calmement. Il devait trouver ces vêtements, et de l'argent. Après il verrait bien. Il se levait et se rendait au petit débarras ou il croyait qu'elles avaient mise les valises et les sacs avec ces vêtements. Evidemment la porte était fermée à clef. Il s'y était attendu et, ne se laissant pas décourager, il se rendait à la cuisine à la recherche d'un ustensile qu'il pouvait utiliser comme clef de fortune.
Quelques minutes plus tard il se mettait à essayer plusieurs outils. Tout concentré il n'entendait pas Milène qui descendait de l'escalier et, le surprenant en flagrant délit, allumait la lumière : « Qu'est ce que tu fais ici en plein nuit ? »
André sursautait et se retournait sans savoir quoi répondre. Elle éclatait de rire : « Mais le petit bébé voulais partir en plein nuit, et tout seul ? ». André retrouvait ces moyens et sa colère : « Et bien oui, faut pas croire que vous pouvez me garder ici conte ma volonté! ». Milène feignait la surprise : « Bien sure que non ! Mais pourquoi la nuit ? Et pourquoi en secret? Ecoute mon petit chou, remettons nous au lit, et demain on discutera de tout ça. »
A ce moment Alice, réveillé par le bruit, arrivait également, et avec son sourire chaleureux et gentille, lui faisait signer d'accepter. André hochait timidement sa tête et, donnant la main à Alice, la suivait en haut. Il se remettait au lit et Alice lui donnait un câlin, mais au moment qu'elle voulait le border, Milène rentrait dans la chambre, tenant le harnais en main : « On ne voudrait pas que notre petit bébé sorte de nouveau du lit, n'est ce pas ? » André se laissait mettre le harnais et regardait comment Milène l'attachait avec deux lanières au chevet, et comment elle attachait le harnais et les lanières avec des petits cadenas. Il n'arrivait même plus à se redresser. Alice lui remettait sa sucette en bouche et lui donnait une bise avant de le laisser seul.
Le lendemain il attendait patiemment qu'Alice vienne le chercher – il n'avait pas de choix de toute façon. Au petit déjeuner il remarquait que Milène attachait le harnais avec lequel il était attaché à sa chaise avec les cadenas. Il était légèrement concerné par cette nouveauté, mais ne se laissait pas intimider. Il se laissait nourrir par Alice, attendant que les filles abordent le survenu de la nuit précédente, mais elles faisaient comme il n'y avait rien eu. Il se décidait donc à aborder le sujet lui-même en annonçant qu'il voulait arrêter, l'été était fini et tout le monde n'avait qu'à rentrer. Alice et Milène se regardaient un instant, et puis Alice, sur son ton gentille de toujours disait que ce n'était pas possible. Milène avait eu une lettre d'un éditeur qui avait été ravi d'une histoire qu'elle avait envoyée. L'éditeur connaissait les quelques histoires qu'elle avait publiées dans le passé dans des revues littéraires mais trouvait que ceci les dépassait de loin en qualité. Si elle pouvait écrire 4 ou 5 d'une aussi bonne qualité, ensemble avec quelques histoires anciennes il en ferait un livre. Donc Milène ne pouvait pas s'arrêter maintenant.
André réfléchissait une seconde et puis, généreux comme toujours, offrait l'hospitalité mais sans jeux de rôles. Cette fois ci c'était Milène qui répondait pourquoi ce n'était pas possible. Alice trouvait dans ces jeux l'inspiration pour ces ouvres d'art visuels qu'elle avait complètement perdue. Elle était convaincue qu'elle était sur le point de réaliser des vrais œuvres d'art. Ils ne pouvaient vraiment pas interrompre ce cycle d'inspiration et de production créatif maintenant.
André était complètement pris par surprise par cette explication. Gentille comme toujours, et amoureux de sa « maman », il hésitait. Après une minute de réflexion il annonçait qu'il était d'accord de continuer de jouer leurs rôles, mais à deux conditions : Un, qu'ils fixaient une durée maximum, et deux, qu'il aurait de temps en temps des « intermezzo » d'une journée, ou au moins quelques heures, pour maintenir le contact avec le monde extérieur.
De nouveau il voyait comment les deux copines échangeaient un regard, et puis Alice reprenait la parole. Elle se mettait debout, et prenait un ton beaucoup plus sec que d'habitude : « Non mon chou, ce n'est pas possible. Peut-être un jour tu pourras comprendre pourquoi ce n'est pas possible et alors je t'expliquerai, mais ça on verra. Mais en ce moment tu dois accepter que t'es notre petit bébé, définitivement. »
Il la regardait ahurit. Ne comprenant pas encore ce que qu'elle venait de dire. Elle s'approchait, et voulait lui donner un bisou : « Je sais que t'aimes très fort maman, et qu'être le petit bébé de maman te rend tout à fait heureux, non ? ». Finalement comprenant ce qu'il lui arrivait il hurlait un très fort « Nooooon !!!!!!!! », et essayait de se libérer de sa chaise – maintenant il comprenait pourquoi Milène avait mis les cadenas-.
Alice s'approchait en souriant. Il croyait qu'elle se moquait de son désarroi et quand elle se penchait en avant pour l'embrasser, il tournait sa tête et, dans une réaction de frustration, la giflait en pleine figure. Alice le regardait avec des grands yeux étonnés. Milène intervenait tout de suite en le giflant à son tour. Il hurlait de colère et de frustration, tirant sur le harnais pour essayer de se libérer. Alice essayait de le calmer mais il continuait à agiter ces bras et ces jambes, essayant de donner des coups dans tous les sens. Il ne remarquait pas Milène quitter la pièce pendant un petit instant, mais quand elle revenait elle tenait en main deux bracelets de cuir. Aidé par Alice elle les mettait autour de ces poignets et puis attachait ces poignets au harnais. Ainsi immobilisé elles le laissaient seul en disant qu'elles reviendraient quand il serait calmé.
Une fois seule il se calmait très vite. Il ne soupçonnait pas que les filles, ayant anticipé sa réaction, avaient mis un calmant dans ces céréales. Les jours suivants elles continuaient à le d r o g u e r sans qu'il s'en rende compte. André rentrait dans son rôle de bébé dépendant. Plus dépendant que jamais parce que par précaution, malgré sa docilité, il était maintenant toujours attaché avec le harnais. Et quand il était seul ses mains étaient attachées au harnais. Le matin quand il attendait qu'on vienne le chercher il ne pouvait même plus jouer.
Mais même rentré dans son rôle de bébé, qu'il continuait à adorer, tous les jours il demandait jusqu'à quand cela allait durer. Au début Alice lui répétait avec sa patience habituelle qu'il était son petit bébé pour toujours. André insistait qu'elle avait dit qu'il était définitivement son bébé « pour le moment ». Elle expliquait qu'il avait mal compris, ou elle c'état mal exprimé, mais il devait comprendre qu'il resterait un bébé pour toujours. Bébé André était sa muse dont elle ne pouvait pas se passer, et de toute manière elle savait que c'était son désir aussi.
Sous l'effet du calmant il ne se fâchait plus, mais continuait à insister que ce ne fût pas possible, qu'elles ne pouvaient pas lui faire ça, qu'elles usaient de lui. Après une semaine Alice était désespérée.
Elle l'attachait à un arbre au jardin et sortait les valises et sacs avec ces vêtements, et pendant qu'il regardait avec une panique grandissante, elle se mettait à couper tous ces vêtements en petits morceaux : «J'espère que maintenant t'auras compris, mon petit ange ? »
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